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| "Jeune Fille à la Mandoline", Musée de Guéret, détail du visage © PHLG 2014 |
Son modèle de prédilection était Cecil Vidil (Lucy), modèle à l'Académie Matisse avant de devenir l'épouse de Per Krohg (puis la maitresse de Pascin) ; Elle est probablement le modèle qui a servi pour cette Jeune fille à la mandoline du Musée de Guéret.
Il vit à Montparnasse, puis à Montmartre après son retour des Etats-Unis, mais le tampon au dos du châssis indique que cette œuvre a été réalisée à l'époque montparnassienne ;
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| "Jeune Fille à la Mandoline", Musée de Guéret, détail du tampon au revers © PHLG 2014 |
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| "Jeune Fille à la Mandoline", Musée de Guéret, détail du retour de la toile sur les chants et traces du premier clouage (pas de traces de clouage sur le bois du châssis) © PHLG 2014 |
- Charles Kuwasseg (1838 - 1904), Vue de Montagne, Musée des beaux-arts de Dole.
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Armand Guillaumin (1841-1927), La mer à Saint-Palais, 1892,
Wallraf-Richartz-Museum & Fondation Corboud, Cologne (Allemagne).
- Armand Charnay, (1844 -1916) La pêche et L’arrosoir, Musée Hospitalier, Charlieu.
- Emile Renouf (1845 - 1894), Eglise d'Harfleur, 1892, musée Malraux, Le Havre.- Claude Monet (1840-1926), La Meule; 1891, Collection Bogart, Musée Marmottan-Monet, Paris.
(voir http://visite-d-atelier.blogspot.fr/2010/10/claude-monet-la-meule-soleil-couchant.html)
ou au début du XXe sur un portrait :
Jean de La Hougue (1894-1959), Portrait du Marquis d'A., collection privée.
http://visite-d-atelier.blogspot.fr/2010/06/portrait-de-monsieur-da-par-jean-de-la.html)
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| Détail du tampon au centre de la traverse médiane |
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| Catalogue Bourgeois Ainé (autour de 1888) |
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| Revers de l'oeuvre lumière transmise |
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L'oeuvre doit être refixée et "bichonnée" avant son départ pour exposition au Japon ; C'est le commité Pascin qui a pris la responsabilité de cette intervention.
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| Détail des soulèvements et lacunes |
Les interventions suivantes sont réalisées :
- Dépoussiérage
très important, à 4 reprises, du revers par aspiration, microaspiration,
chiffon microfibre et gommage de la toile à l’éponge en latex.
-
suppression
des scrupules (éléments de poussière, paille, plâtre et sable placés entre le
montant inférieur du châssis et la toile provoquant déformations localisées et
amorces de soulèvement).
-
refixage
avec du PRIMAL e330S dans de l’éthanol
et à l’Aquazol 200 à 16% dans l’eau (avec ajout de tensio-actif Triton DF12).
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Masticage
des lacunes au Modostuc couleur Mogano, puis réagréage
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retouches
des lacunes aux couleurs Gamblin Conservation Colors® dans une résine Laropal
A81, solvant Lactate d’éthyle.
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Intégration
des coulures visibles, après accord de Charlotte Guillois, par pose de touches
légères à l’aquarelle (réverible dans l’eau, l’innocuité de l’eau ayant été
testée au préalable),
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Suppression
locale de taches au scalpel (sous loupe)
-
sécurisation
des clés
-
bordage
des montants de l’œuvre pour protection et pour assurer la tension périphérique
avec un papier de type japonais (papier de chanvre) posé avec une colle de
cellulose (ether de cellulose, Klucel G).
Installation d'un Stretcher Bar Lining au revers.
Le châssis est voilé, des préconisations sont nécessaires pour le conditionnement de l'oeuvre.
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| Détail de la zone lacunaire après refixage et retouche |
